« Malgré les campagnes de dénigrement relayées par certains médias, le Niger sous la direction du général Abdourahamane TIANI, poursuit résolument sa lutte contre le terrorisme. »

Alors que certains médias tentent de décrédibiliser les efforts sécuritaires du Niger sous la conduite du général Abdourahamane TIANI, eux, parlent un tout autre langage. Loin des raccourcis et des analyses à distance, les Forces armées nigériennes démontrent chaque jour leur efficacité, leur engagement et leur montée en puissance dans la lutte contre le terrorisme. Dans sa parution du lundi 07 juillet 2025, Jeune Afrique tente comme à son habitude de fustiger les dirigeants des pays de l’AES, de banaliser les avancés des FDS sur le terrain. Dans son article : « Plus vite que Goïta, plus fort que Traoré » : Tiani, souverainiste en chef au Sahel, général en échec au Niger. Le journal sans se soucier de la lutte acharnée que s’est livré les FAN contre les groupes armés, s’intéresse à une simple promotion d’officier militaire en général de brigade. Depuis la prise de pouvoir par le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNPS), les opérations militaires se sont intensifiées avec une stratégie claire : sécuriser les frontières, neutraliser les groupes armés terroristes. Ces derniers mois, plusieurs victoires ont été enregistrées, notamment dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Diffa, autrefois fortement exposées aux incursions djihadistes.

Une armée plus autonome, mieux équipée

Le Niger a fait le choix de la souveraineté sécuritaire sous la conduite du général TIANI : rompre avec la dépendance extérieure pour construire une armée forte, enracinée dans les réalités locales. La diversification des partenariats militaires comme le Burkina et le Mali, s’est traduite par une coordination accrue des opérations et un partage d’intelligence stratégique efficace. Contrairement aux insinuations de certains éditorialistes de salons, cette rupture ne signifie pas isolement, mais maîtrise des priorités nationales.

Le moral des troupes : une force silencieuse

Ce que les détracteurs oublient trop souvent, c’est le facteur humain. Les soldats nigériens, longtemps livrés à eux-mêmes, sentent aujourd’hui que le combat est compris et soutenu par le sommet de l’Etat. Loin des divisions supposées, c’est une nouvelle cohésion qui se construit, nourrie par un discours de souveraineté assumé et des décisions politiques en phase avec les attentes des hommes en uniforme.

Tiani, cible médiatique mais acteur stratégique

Le président Tiani dérange parce qu’il parle de souveraineté, parce qu’il agit et parce qu’il a osé nationaliser la filiale de la multinationale française de l’uranium Orano. L’article de Jeune Afrique, en le présentant comme un « général en échec », oublie volontairement de mentionner les avancées sécuritaires réelles, les efforts diplomatiques pour refonder des alliances durables, et la confiance renouvelée du peuple nigérien.

Les victoires ne font pas toujours la une, mais elles forgent l’histoire

Le Niger n’est pas en train de sombrer. Il est en train de se relever. Les forces armées nigériennes, grâce à leur courage, leur discipline et leur engagement, écrivent une nouvelle page de l’histoire du Sahel : celle de la dignité retrouvée, de la sécurité reconquise et de la souveraineté affirmée.